En l’année 2501, la colonie se trouvant sur Mars avait évolué, parcourant d’une base rationnelle spartiate à une juste culture autonome marqué par un grande dôme transparent. Ce dôme était une pièce technologique, adapté à pendre pas seulement la éternité, et aussi le calme mentale des colons, offerts aux énergies de l'existence m
Le dôme des doléance
Sous la vaste circulaire translucide du dôme martien, les journées s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids grandissant des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient désormais permanentes, lentement mouvantes, par exemple une vapeur dense qui refusait de faire évaporer. Ces emblèmes, nées des regret
Le dernier appel du balise
Le vent hurlait à proximité du phare, provoquant un certain remous du mal qui s’écrasaient parallèle à les rochers. Depuis la tour seul, le gardien observait l’horizon, son regard défini sur l’obscurité mouvante de l’Atlantique. La mer semblait attendre quelque chose. Il ne savait toujours pas quoi, mais une tension étranger flott
L’horloge indécelable
Le vent hurlait par les hautes saint-ouen de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de match, un moine s’éclairait à la jour vacillante d’une chandelle. La brique était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre fraîche.
La éclaircissement qui persiste
Adrien s’approcha délicatement du phare, ses pas résonnant sur la roche humide de l’île poursuite par les vents. La composition, massive et intacte, semblait favoriser les siècles. Pourtant, elle ne figurait sur aucune carte maritime. Aucun marin, aucun registre de navigation ne mentionnait son vies. Et cependant, n'importe quel nuit, sa jo